Deux jours de festival assez crevant, et on ne s’en rend compte qu’après, mais alors on s’en rend bien compte.
Et comme prévu, de belles rencontres. Celle avec Comes va me poursuivre pour la vie. Et puis cela fait du bien de pouvoir parler et simplement voir ses éditeurs et collaborateurs (Casterman) alors qu’ils sont bien trop pris le reste de l’année.